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Type: actualite Source : Politique
Création : 21/03/2006 Nombre de connexions : 625

Qui aime les comores?
par saidali909@hotmail.com
 

Aimons les Comores

« Il faut se connaître pour s’élever » : c’est une parmi les termes philosophiques les plus justifiable que je connais. Pour cela, chers citoyens comoriens, rien ne pourra aboutir à rien sans que nous soyons fier de nous même. Moi SAID ALI HAMIDOU j’avance des signaux pour un homme qui aime son pays.
Dans le passé, nous avons vécu tant d’expérience hélas ! des mauvaises expérience. Nous avons traversé une trentaines d’années de crise que nous ignorons les sources. De cela, quelques soient les occurrences que nous avons subit, nous devons hurler aussi fort dire au revoir les rancoeurs, les haines, et les rivalités. Dire bienvenu la paix, la solidarité, le développement, et la vie merveille de tout les citoyens comoriens.
La question reste à savoir comment forger un tel navire ? et quel personnage doit t-on lui confier ce navire? et bien à mon expérience aujourd'hui nous sommes capable de distinguer le mal du bien, le Noir et le Rouge, par déduction, nous sommes capable de choisir l’homme chevronné à nous conduire loin où nous voulons.
« Aimons notre pays » nous devons affirmés.
Nous devons être conscient et sérieux des crises que nous vivions aujourd’hui si d’ici là nous souhaitons que cette situation cesse d’exister.
Alors, chers frères et sœurs comoriens, soyez comme je le suis reconnaissant à souhaiter un changement radical à ces situations et à ces crises. Nous avons vu, nous avons entendu ce qu’on souffert nos responsables des îles aux quelles nous nous sommes senti entièrement bouleversés, unis pour réclamer leurs droits de compétences. Nous avons vu et entendu ce qu’on souffert et continue certains départements ministérielles ….et que nous demandons à Dieu que la situation trouve un début de solution sans tarder. Et les radios et les télévisions nous mettent chaque jour au courant de la situation des querelles qui se développent aujourd’hui dans notre pays.
Sachons que nous avons tout ce qu’il fallait pour nous entendre, pour rester ensemble, pour construire ensemble et jouir ensemble du fruit que nous aurions semé.
Je suis sure qu’aucun de nous ne désire que nous vivions aux Comores, que ce soit en Ngazidja, à Anjouan, à Mayotte ou à moheli, que nous souffrions de ce que nous avons soufferts jadis, parce que nous aimons notre pays et nous ne cesserons jamais de l’aimer. Nous voulons tous la paix, le développement, faire reculer la misère, la discrimination, le chômage, l’ignorance, la corruption et la famine.
Et c’est par là que nous devront faire prière à Dieu de donner à chacun de nous suffisamment d’intelligence, de conscience afin d’apporté sa petite bout de bois à la construction d’un vrai navire capable de nous amener loin que nous voulons.
C’est tout à fait normal que chacun ait son opinion, son candidat et désir et fasse tout pour que ce candidat l’emporte car c’est là où nous pourrons évoquer la notion de démocratie. Mais si nous voulons vraiment combattre la misère, la discrimination, le chômage, l’ignorance, la famine et donner du sourire à tous les enfants comoriens afin que nous puissions trouver notre identité; nous devons faire confiance à un homme qui aime notre pays, et qui est près à se sacrifier pour combattre les difficultés des citoyens comoriens.
Sachons distinguer comme nous pouvons le faire tous, l’homme qui a servi notre pays par amour, sacrifice et enthousiasme. Celui qui aura le courage de confronter les problèmes qui ronge notre pays. L’homme qui a conduit dans sa vie professionnelle tant des navires à travers le vent, les marées et la tempête en tenant compte de l’inspiration des comoriens.

J’invite chaque comoriens, de Ngazidja, de Ndzouani, de Mohéli Et de Maoré, J’invite chaque comoriens et particulièrement ceux qui s’intéressent à la politique, Ceux qui s’intéressent à notre pays, J’invite chaque comoriens à faire son examen de conscience. Qu’est ce que ces candidats ont fait ces pendant 30ans de la naissance des Comores? Qu’est ce qu’ils ont fait avant hier, hier et aujourd’hui ?, qu’est ce qu’ ils ont fait pour que la paix règne autour de nous ?, pour que la paix règne dans les îles ?, qu’est ce qu’ils ont fait pour que nos produits soient apprécier par les commerçants du monde entier ?, qu’est ce qu’il fait pour que nous soyons en bonne santé ? qu’est ce qu’ils ont fait pour que notre pays aient sa place touristique dans l’océan indien.
Mes amis, soyons sérieux, soyons nationalistes, soyons conservateurs. Montrons que nous aimons notre pays. Montrons que nous nous aimons et que nous aimons celui qui aime notre pays.
Allons, mes frères et soeurs, du calme ! Ne nous montons pas la tête. On dit souvent que la voix du peuple, c’est la voix de Dieu. C’est un principe de démocratie. Je ne peux pas obliger les gens à voter autrement que ce qu’ils veulent. Je ne peux pas obliger quelqu’un à voter contre son gré, contre sa conscience. Nous avons une conscience et c’est là-dessus que Dieu nous jugera. Toutes les tractations, toutes les influences, les pressions pour qu’on vote pour celui-ci, plutôt pour celui là et contre son gré, ça nous dessert, ça ne sert pas notre pays.
Alors, mes frères et sœurs comoriens, au nom de votre choix, je vous en supplie, ne mettons pas notre pays à feu et à sang, car nous n’aimerons pas. Au nom de notre pays, au nom de conscience, ne cherchons pas à nous ravager.
Ça ne va pas continuer ! Soyons des citoyens responsables qui adorent leurs pays. Prenons prétexte des précédentes dirigeants afin de ne faire plus traîner notre pays dans un bain de sang inutile. Car, cela ne sert à rien.
Disons nous ce qui ne va pas, essayons de trouver ensemble un soutien. Mettons-nous ensemble. Notre pays est précipité dans une situation telle qu’il n’aurait pas assez des bras de tous les comoriennes et comoriens. Alors, ne perdons pas notre temps. N’en supprimons pas certains, n’en supprimons pas d’autres. Les Comores a besoins de nous tous, des jeunes, des intellectuelles et des techniciens.
Allons, mes frères et soeurs, ne mangeons pas notre riz en herbe. Ayons un amour profond sur nous. Cherchons un vrai capitaine de bateau pour lui confier son idéal, un idéal vrai dont nous serons fiers demain avec nos enfants, parce qu’avec lui, nous savons que les Comores continuera. J’en suis sûrs que les Comores avec lui, s’épanouira. Donc, mes frères et sœurs comoriens, du calme, du calme et du calme, réfléchissons.
comment m’adresserez-je à vous citoyens comoriens sans m’adresser à nos candidats.
Oui, vos honneurs chers candidats, Vous aviez été fidèle, restez fidèle et soyez toujours fidèle à votre peuple, car chacun de vous sera au devant du navire qui transportera tout les comoriens. Vous avez dit et vous n’arrêté pas à dire durant vos conférence, vos meeting et vos campagne que vous aimez votre pays, vous le disiez, et vous y répétiez. Vous ne l’avez pas oublié, j’en suis sûr. Alors nous, peuple comorien avons besoin de vous entendre, je vous en supplie, sortez votre silence. Adressez-vous à votre peuple pour que nous décrétions que vous êtes les Hommes des Années avenir. Dites vos parole à nos frères de toutes les îles. Adressez-vous à nous car l’heure est arrivé. Et je ne voudrais pas que votre conscience demain vous le reproche et vous introduise dans une nuit où vous allez chercher en vain le sommeil. Mettez-vous en règle avec votre conscience. Le peuple l’attend de vous. Dieu l’attend de vous.
Je termine en m’adressant à vous, frères et sœurs chers compatriotes, il n’y a pas lieu de désespérer. Nous avons un bel avenir devant nous. Et l’océan indien attend de nous que nous réussissons. L’Afrique attend de nous que nous réussissons, le monde musulman ainsi que le monde entier attend de nous que nous réussissons.
Alors, chers compatriotes, soyons lucides, soyons responsables, aimons notre pays et le bon Dieu est à côté de nous. Il nous donnera la force, le courage de bâtir dans la peine. Mais nous serons contents d’avoir bâti un pays merveilleux, un peuple heureux.
L’histoire est seule juge, c’est une juridiction qui vise les effectivités.



Ecrit par Saïd Ali Hamidou



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